L’Allemagne a franchi le pas depuis quinze ans, avec une cotisation financée à parité par l’employeur et le salarié qui couvre aujourd’hui la moitié des frais liés à la perte d’autonomie.
Notre pays aborde la cinquième branche, désormais appelée « cinquième risque » avec nombre d’interrogations. Non pas sur son existence, puisque notre pays vieillit et que tous les Français sont susceptibles d’y avoir recours un jour mais sur sa définition et son organisation.